react native expo android ios stack navigator Cours web Mobile – React Native

Chap 0 : Présentation de ReactNative & Expo

Vous commencez le développement mobile et vous hésitez à choisir ReactNative ou la surcouche Expo ? Je vous donne quelques indices afin d’y voir plus clair sur quel framework vous devriez choisir en fonction de vos compétences, du temps, et de vos besoins.

Code source du projet est disponible ici, sur Github.

Présentation de React

Framework pour le développement web frontend, développé par Facebook et concurrent direct de Angular et de Vue.js.

 

Dom Réel et virtuel

React est à la mode. Il est performant, et ce grave à un point important, est qu’il utilise un DOM (Document Object Model) virtuel.

Le DOM (réel) est l’arbre de nœuds, la représentation textuelle de toute votre application web. Quand vous effectuez un changement d’état au sein de votre application, l’intégralité du DOM est recréer. Cela comprend alors l’ensembles des éléments fils de l’application. Et ceci peut être couteux en terme de performance pour des applications grandissantes, surtout si vous y effectuez des modifications fréquentes de votre UI.

Le DOM virtuel quand à lui est un second arbre, correspondant à l’état réel de la globalité de votre application. Vous pouvez alors vous demandez, n’est-ce pas doublon d’avoir deux arbres à l’identique ? Et bien non.

On imagine que vous effectuiez une modification de couleur, sur un texte par exemple. Dans le cas d’une application avec Angular, celui-ci va redessiner la globalité de l’application. Avec React, seul le DOM virtuel va être modifié. React va alors réaliser une comparaison avec des algorithmes spécifiques entre le DOM virtuel fraichement actualisé, et le DOM réel. En fonction des différences entre les deux arbres, seul les nœuds qui ont un nouvel état, vont être redessiner dans le DOM réel. Cela permet de redessiner seulement un seul nœud, dans notre exemple.

Voici une image plus parlante :

virutal dom vs real dom

 

Présentation de React Native (Vanilla)

C’est un framework développé par Facebook pour le développement d’applications cross-platform (iOS et Android).

 

Développement natif vs développement hybride

Le développement natif est l’utilisation de SDK spécifique. Xcode pour iOS, et Android studio pour Android.

 

Pourquoi favoriser le dév. natif
  • Le développement natif utilise ses modules et bibliothèques natives, avec son langage natif. Il sera toujours plus performant que les solutions hybrides, même si au cours du temps nous observons de moins en moins de différences
  • L’accès aux modules spécifique facile (notification push par exemple)
  • Poids des apk/ipa très léger

 

Pourquoi favoriser le dév. hybride
  • Un seul langage de développement pour deux plateformes
  • Un code unique. Donc 2x moins de bug, en 2x moins de temps
  • Une interface UI/UX identique, évitant des différences

Présentation de Expo

Expo embarque ReactNative, c’est une sorte de wrapper, de surcouche. Vous retrouvez donc l’ensemble des items graphiques de ReactNative.

En voici les principales caractéristiques :

Projet déjà configuré ! En une minute vous avez votre Helloworld de fonctionnel ! Cela évite des paramétrages en tout genre et fastidieux sous ReactNative Vanilla pour paramétrer Xcode et AndroidStudio.

Pas besoin de mac pour tester votre app sur les deux OS mobile ! Et ça, ça fait plaisir. Ayant un vielle Iphone et mon Android de tout les jours, je peux tester via l’application Expo (disponible sur les stores iOS et Play), avec hot-reload, et sans avoir de Mac, l’application que je développe sur mes deux smartphones. Même si le dév. hybride promet d’avoir un UI/UX 100% identique entre les deux plateformes, il m’est arrivé que mes checkbox ne s’affichait pas correctement sur iOS. J’ai donc forcé pour mes deux plateforme, l’utilisation de la checkbox Android. Soucis auquel je me serais rendu compte une fois seulement uploadé sur les stores. Sous ReactNative Vanilla, vous pouvez seulement tester sur votre iOS si vous tournez sous macOS,  et seulement sur votre Android si vous êtes sur Windows pour développer.

Pas besoin de mac pour builder votre app ! Vous pouvez utiliser les serveurs expo pour cela. Attention, il vous faudra obligatoirement un compte développeur chez les deux sociétés, et acheter la licence qui va avec. Autre piège, votre build se fera à distance et non en local, attention donc si vous développer une app qui doit rester à l’abris des regards.. Mais dans tout les cas si vous souhaitez build en local et sans mac, vous pouvez utiliser une VM sous macOS Catalina avec QEMU/KVM sans soucis. Sous ReactNative Vanilla il vous faudra forcement les deux OS pour builder sur les deux plateformes, mais qui se résous aussi bien par la VM.

Accès à l’ensemble des modules natifs compliqué voir impossible… A un moment donnée, votre application grandissante va prendre en fonctionnalités. Etant donnée que Expo est une surcouche, l’accès aux modules natifs n’est pas possible pour réaliser certaines fonctionnalités. Je prends comme exemple connu comme les notifications push, ou achats-in app. Vous n’y aurez simplement pas accès.

… mais vous pouvez Ejecter Expo ! Vous pouvez cependant ‘éjecter’ Expo pour palier au problème précédent. Mais à en lire certaines expériences sur le net, selon la taille et le versionning de votre projet, que ça puisse très bien se passer comme mal se passer.

Poids supérieur des apk/ipa ! J’ai publié sur les stores ma première application avec des fonctionnalités très simple. Elle fait 50mo à télécharger sur les stores.

 

Quel framework choisir au final ?

  • Vous débutez sur le développement mobile ?
    • Oui ? Foncez sur ReactNative + Expo

 

  • Votre application requiert des accès natifs à des modules particuliers (achats in-apps ou push-notifications) ?
    • Oui ? : Foncez sur ReactNative vanilla
    • Non ? : Foncez ReactNative + Expo

 

Si votre choix se confirme à développer sous Expo, je vous propose de commencer par le premier chapitre, afin d’installer l’environnement de développement. Hello World sur mon smartphone en moins d’une minute garantie ! 😉

mac os apple installation catalina vm virtual machine qemu kvm Système d'exploitation

macOS Catalina sans macbook, gratuit & fluide

J’ai eu récemment besoin de Catalina afin de builder une application ReactNative pour iOS. Les solutions traditionnels Virtualbox ou encore Vmware m’ont donnée des OS inutilisable, résultant en d’important lag même sur ma config à 4000€. Au bout de deux jours de recherche et d’installations en tout genre pour activer l’accélération graphique via GPU, je suis tombé ENFIN sur une option viable, gratuite, et donnant d’excellent résultat sur mon laptop à 500€ qui datent des années 2015 avec un vieux dual-core !

Vous aurez accès à l’ensemble des outils de Apple, XCode, les app stores, etc.

 

Prérequis

Désolé les amis, il vous faudra lâché Windows au profit d’une distrib Linux. Donc ayez une machine en dual-boot sous la main, c’est obligatoire.

 

Dépôt

J’ai trouvé deux répo intéressant:

 

Le premier de Foxlet est le plus simple. Mais celui de Kholia est un poil plus performant, et nous partirons sur celui-ci dans la suite du tuto.

 

Pourquoi ?

Foxlet utilise le bootmanager Clover, alors que Kholia Open-core. Open-core est plus jeune, moins robuste, mais semble être plus prometteur et performant. Clover semble être délaissé au profit du jeune OpenCore, la plupart des gros développeur sont partie pour ce dernier.

Vous pouvez y ajouter votre GPU, votre carte son, périphériques USB pour développer sous XCode, etc.

 

Installation

On va suivre les infos du dépôts :

  • On paramètre KVM
    $ echo 1 | sudo tee /sys/module/kvm/parameters/ignore_msrs
    

    On rend la modification permanente

    $ sudo cp kvm.conf /etc/modprobe.d/kvm.conf
    
  • Installation des packages nécessaires
    sudo apt-get install qemu uml-utilities virt-manager git wget libguestfs-tools -y
    
  • Clone le répo de Kholia
    cd ~
    
    git clone --depth 1 https://github.com/kholia/OSX-KVM.git
    
    cd OSX-KVM
    
  • Lancez le scripts suivant :
    ./fetch-macOS.py
    

    Selectionnez la version de macOS que vous souhaitez installer.

    $ ./fetch-macOS.py
     #    ProductID    Version   Post Date  Title
     1    061-26578    10.14.5  2019-10-14  macOS Mojave
     2    061-26589    10.14.6  2019-10-14  macOS Mojave
     3    041-91758    10.13.6  2019-10-19  macOS High Sierra
     4    041-88800    10.14.4  2019-10-23  macOS Mojave
     5    041-90855    10.13.5  2019-10-23  Install macOS High Sierra Beta
     6    061-86291    10.15.3  2020-03-23  macOS Catalina
     7    001-04366    10.15.4  2020-05-04  macOS Catalina
     8    001-15219    10.15.5  2020-06-15  macOS Catalina
     9    001-36735    10.15.6  2020-08-06  macOS Catalina
    10    001-36801    10.15.6  2020-08-12  macOS Catalina
    11    001-51042    10.15.7  2020-09-24  macOS Catalina
    12    001-57224    10.15.7  2020-10-27  macOS Catalina
    13    001-68446    10.15.7  2020-11-11  macOS Catalina
    14    001-79699     11.0.1  2020-11-12  macOS Big Sur
    
    Choose a product to download (1-14): 14
    

    On a récupérer le BaseSystem.dmg, on va le convertir

    qemu-img convert BaseSystem.dmg -O raw BaseSystem.img
    
  • On créer un disque dur virtuel, ou notre distri de macOS sera installé. Attribuez la valeur de stockage comme vous le souhaitez. Sachez que Xcode prends pas mal de place, donc au minimum une partition de 64go me semble correct…
    qemu-img create -f qcow2 mac_hdd_ng.img 128G
    

     

Démarrer Catalina

Pour démarrer notre futur macbook pour la première ainsi que les autres sessions, lancez le script suivant :

./OpenCore-Boot.sh

 

On commence par booter sur le disque de base :

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Sélectionnez Disk Utiliy :

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Sélectionnez le disque que vous venez de créer dans les étapes précédentes :

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On va cliquer sur Erase. Donnez lui un nom à notre disque, macOS Catalina par exemple. Validez en cliquant une nouvelle fois sur Erase :

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Tout est fini. Fermez l’utilitaire de disque afin de revenir sur le menu de départ.

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Sélectionnez Reinstall macOS :

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Un tas de chose vont vous être demander, laissez vous guidez à travers l’installation. Acceptez les divers conditions, remplissez votre profil, enregistrer votre compte Apple afin d’avoir accès au store, etc. Je vous explique pas chaque détails, c’est plutôt intuitif :

installer apple mac os catalina gratuit qemu kvm

 

Après une vingtaine de minute, votre installation est fini

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Pour utiliser le plein écran : Shift + Alt + F

Pour quitter le focus et revenir sur votre linux : Shit + Alt + G

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Chap 6 : Stockage de données complexes (SQLite)

Nous avons vu dans le chapitre précédent comment stocker en local des données simples.

On va s’attarder cette fois-ci à comment stocker des informations plus nombreuses, plus complexes et ce de façon plus ordonnée, en utilisant des bases de données SQL.

On va réaliser une simple to-do app, avec possibilité d’ajouter une note, ou d’en supprimer, avec une liste permettant de toute les afficher.

 

Code source du chapitre disponible sur Github.

 

On ne peut utiliser n’importe quel outils pour persister des données car nous sommes sur un projet Expo, nous empêchant d’accéder aux modules natifs de iOS et Android. SQLite est un moyen fonctionnant avec des projets Expo.

 

Objectifs

  • Stocker localement des informations via une base de donnée SQL

 

react native sqlite

 

Prérequis

Installez le package pour utiliser SQLite :

expo install expo-sqlite

 

Nous l’importerons dans nos fichiers de la manière suivante :

import * as SQLite from 'expo-sqlite';

Base de données & CRUD

CRUD : diminutif correspondant aux requêtes basique, à savoir Create, Read, Update et Delete.

Création de la base de données

Rien de plus simple, une seule ligne suffit :

On donne un nom à notre base, en argument. Celle-ci n’est crée qu’une seule et unique fois. Si on rappelle cette même méthode, on récupère la base de donnée crée auparavant, aucun risque de doublon.

 

Création de la table NOTE

On va maintenant créer notre table. Je vous montre la façon la plus simple de réaliser des transaction SQL vers notre base :

Requête SQL des plus basique avec le mot clé CREATE TABLE. On lui donne un nom de table, ainsi que la définitions de nos colonnes. Un ID auto-incrémenté pour garantir l’unicité de nos données, ainsi qu’un attribut TEXT qui contiendra le contenu de nos notes.

Nos deux attributs ne peuvent être null, et on leur défini un type, soit Text ou Integer.

 

Optimiser les requêtes

Je préfère une autre annotation que la précédente pour questionner la base de données, récupérer nos objets et leurs affecter des transformations. Je trouve plus clair et simple à l’utilisation. On définit notre modèle de requête avec une promesse :

On pourra utiliser ce modèle dans des fonctions async, via un appel par un await. On pourra utiliser des then() et catch() à l’appel du service dans nos vues, permettant par exemple d’afficher à l’utilisateur dans une popup si une note à bien été ajouté ou si dans le cas inverse afficher un message d’erreur avec son origine.

 

Récupérer toute les notes

On définit une interface pour les objets que l’on va récupérer en base. Cela nous facilitera leurs manipulations au sein de notre application :

 

On fait appel à notre modèle pour questionner la base :

On récupère nos objets via la requête. On va itérer sur notre résultat de requête pour re-typer correctement nos objets.

 

Ajouter une note

Seule différence, on va ici passer en argument le contenu de ma note que l’on souhaite persister en base. Pas besoin de lui passer un ID pour la note, car celle-ci est généré automatiquement en base. Nous avons défini cette option tout à l’heure, lors de la création de la table.

Supprimer une note

Quasiment identique au point précédent, sauf qu’ici on lui passe un ID de note à notre fonction, étant donné que c’est l’attribut qui défini l’unicité de mes items dans ma table NOTE :

 

Récupération des items dans la vue

Nous venons de créer notre base ainsi que des opérations CRUD permettant d’interagir avec elle. On va désormais créer une nouvelle vue, avec un champ de texte permettant de donner du contenu à une note, un bouton pour ajouter cette note, une liste scrollable permettant de naviguer sur l’ensemble de nos notes en base, et leur associé à chacun un bouton pour les supprimer.

 

Définition du state de notre vue

On commence par créer le squelette de base de notre vue :

On utilise ici un composant de classe et non un composant fonctionnel. On a besoin d’utiliser un state pour l’affichage dynamique du contenu de notre liste scrollable. On défini un attribut myNoteList correspondant à une liste de l’ensemble de nos notes en base, ainsi qu’un second attribut note correspondant au champ de texte remplissable par l’utilisateur pour créer une nouvelle note. On initialise les deux attributs dans le constructeur.

 

Définition des méthodes de notre vue

On défini les méthodes pour mettre à jour nos éléments, pour ajouter une note, ainsi que la supprimer :

La méthode componentDidMount() est une méthode standardisé de React, permettant d’être appelé une seule et unique fois et ce à la fin de la création du composant. On lui demande à l’ouverture de notre page, d’initialiser notre liste avec le contenu de notre base de données.

 

Définition des éléments visuels de notre vue

Ici rien de bien complexe. J’ai créer un titre de page, un champ de texte avec un bouton pour ajouter une note. Une liste scrollable présentant l’ensemble des notes en base, ainsi qu’une option permettant de les supprimer :

J’ai utilisé des icones Ionicons inclus dans Expo, qui s’adapte en fonction de si vous êtes sur Android ou iOS via la méthode Platform.OS, encapsulé dans des TouchableOpacity, pour rendre un peu plus esthétique mes boutons d’interactions, ainsi que des flexbox pour avoir une touche de responsive design.

 

Conclusion

Vous venez de voir comment créer très simplement une base de donnée pour votre application React Native tournant sous Expo, comment l’interroger et surtout comment récupérer et afficher le résultats dans une belle vue responsive.

react native expo android ios async storage Cours web Mobile – React Native

Chap 5 : Stockage de données simples (AsyncStorage)

Nous venons de voir au chapitre précédent comment organiser une navigation complexe et imbriquée pour une application avec une architecture grandissante.

Nous allons voir aujourd’hui comment stocker des données plutôt simple, par exemple des paramètres de l’application comme l’activation ou non d’un thème clair ou sombre.

 

On ne peut utiliser n’importe quel outils pour persister des données car nous sommes sur un projet Expo, nous empêchant d’accéder aux modules natifs de iOS et Android. AsyncStorage est un moyen fonctionnant avec des projets Expo.

 

Code source du chapitre disponible sur Github.
 

 

Objectifs

  • Stocker localement des informations via JSON

async storage chap 5

 

Prérequis

Installez le packet requis via une console :

expo install @react-native-async-storage/async-storage

Utilisez l’import qui correspond dans vos fichiers :

import AsyncStorage from '@react-native-async-storage/async-storage';

Que-ce que AsyncStorage

AsyncStorage nous permet de persister des données en local sur le smartphone, de façon asynchrone et non crypté. Les informations sont sauvegardé en clair, donc éviter de stocker des données sensibles tel que des mots de passes.

Le stockage s’effectue sous forme de couple tel quel : <Clé, Valeur>.

On ne peut stocker que des string, donc pour des éléments plus complexe tel que des objets, on devra utiliser JSON.stringify() pour la conversion en JSON lors de la sauvegarde d’une donnée, et utiliser JSON.parse() pour lire un objet.

Sauvegarder des données

Pour un string

Pour un objet

 

Lire des données

Pour un string

Pour un objet

 

En pratique

On va faire un exemple tout bête, à savoir charger le nom d’un utilisateur à l’appui d’un bouton.

 

Méthode d’écriture & lecture de donnée

On commence par définir nos deux méthodes pour charger et sauvegarder une donnée :

On appellera la méthode initProfileName() dans l’entrée de notre l’application (App.tsx) pour initialiser notre donnée.

 

Mise à jour de notre vue

On crée un état initialisé à ‘Invité’. On aura une méthode appelant notre fonction pour lire notre donnée via AsyncStorage, définit précédemment. Et enfin une méthode render() pour afficher un champ de texte, et un bouton bindé avec la fonction de chargement de notre donnée locale :

 

Conclusion

On vient de voir comment stocker des informations simple en local. Nous allons voir au prochain chapitre comment stocker des informations plus complexe et surtout en quantités plus importantes.

 

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Chap 4 : Stack navigator ( navigation imbriquée )

Nous venons de voir dans le chapitre précèdent comment faire une barre de navigation principal. Mais comment faire si nous souhaitons naviguer dans de nouveaux composant à travers nos vues actuelle ?

Pour réaliser une navigation imbriqué de vue dans d’autres vues, nous allons ajouter un nouvel élément, une StackNavigation.

 

Code source du chapitre disponible sur Github.
 

 

Objectifs

  • Créer de nouvelles vues
  • Réaliser une navigation imbriqué

stack navigator and tabs navigator react native

Prérequis

Installez la lib qui gère la stack :

npm install @react-navigation/stack

 

Créer une nouvelle vue

Pour faire de la navigation imbriquée, il va nous falloir dans une première partie créer un nouveau composant, une nouvelle page. Faisons une nouvelle page Profil, qui affiche mon prénom, par exemple :

 

Mise a jour des ROUTES

On va ajouter une nouvelle route dans notre constante globale des routes, amenant à notre nouvelle vue précédemment crée :

 

Création de la stack navigator 

On va créer notre composant qui va gérer la navigation par pile. On doit lui définir nos deux composants (nos deux vues), leurs routes respectifs pour y accéder, et la route initiale lorsque le composant est crée :

 

Mise a jour de notre tab navigator

On va désormais fournir à notre navigation par tab, non plus mon composant WelcomePage comme initial, mais directement notre stackNavigator, crée précédemment :

 

Appel du changement de route par un bouton

On met à jour notre composant WelcomePage, via la méthode onPress, qui est appelé lors d’un clique sur notre item, permettant d’appeler le changement de vue en lui donnant la route que l’on souhaite. Je vous montre comment faire cet appel selon le type de composant que vous utilisez au sein de votre application :

 

Navigation via composant fonctionnel

 

Navigation via composant de classe

 

react native stack tab navigator
Résultat du cours

Conclusion

Nous venons de voir comment naviguer à l’infinie entre nos vues. Dans le prochain chapitre, nous nous attarderons à comment sauvegarder, à la fermeture de notre application, des données simples, comme des paramètres de l’application.